Originaire d’un village au cœur de la Forêt de Fontainebleau, l’escalade a toujours fait partie intégrante de mes week-ends et vacances passés à grimper dans les rochers dès mon plus jeune âge.
Après avoir pratiqué plusieurs sports différents, du tennis en passant par les arts martiaux, c’est tout naturellement que j’en suis revenu vers la pratique de l’escalade sur site naturel avec l’appel de la forêt.
Les premiers pas
Mes premiers vrais pas dans le monde de l’escalade se sont donc fait à quelques kilomètres de chez moi sur les secteurs bien connus de Fontainebleau tels que “la Roche aux Sabots”, “La Gorge aux Châts” ou “La Canche aux Merciers”. C’est seulement deux ans après lors d’un hiver particulièrement pluvieux que j’ai mis pour la première fois les pieds dans une salle d’escalade et les doigts sur le plastique des prises.
C’est dans cet endroit que j’ai découvert une autre facette du sport qui m’a transporté immédiatement, l’ouverture. L’imagination de nouveaux passages à grimper, l’élaboration de mouvements plus ou moins complexes et l’envie de voir des grimpeurs essayer de décrypter puis se mesurer à son bloc, m’ont tout de suite poussé à jouer avec les visseuses aussi souvent que possible.
Les voyages
J’ai ensuite voulu découvrir l’escalade qui pouvait être proposée à d’autres endroits en France d’abord, puis dans le reste du monde. Je me suis initié à la falaise et à la pratique de la corde et j’ai pu voyager pour découvrir parmi les plus grands secteurs de grimpe du monde. J’ai donc pu enfiler les chaussons au Canada sur les falaises de l’est, en Afrique du Sud sur les rochers mythiques de Rockland, sous le soleil brûlant d’Hampi dans le sud de l’Inde, sur les différents secteurs de bloc de Suisse et dans bien d’autres endroits. L’aventure liée étroitement à la pratique de l’escalade a achevé d’en faire ma passion.
C’est un peu plus tard, en atteignant les portes de ce qui me semblait impossible à mon démarrage, le huitième degré, que j’ai fait la découverte de ce qui fera l’essentiel de mon travail, l’entraînement.
Plongé jour et nuit dans les recueils sur la préparation physique ou mentale, sur la prévention des blessures, les étirements, l’auto-massage, je fut le premier cobaye de mes planifications et séances d’entraînement. C’est en continuant de peaufiner mes connaissances dans le domaine que j’ai compris quelle part de l’escalade serait mon métier.
PARCOURS PRO
Avant de pouvoir profiter pleinement de ma passion en tant que travail, j’ai dû passer par quelques étapes préliminaires.
J’ai tout d’abord commencé à travailler dès 17 ans en tant qu’animateur dans différents centres de loisirs sur la période estivale. J’ai ensuite passé un CQP OPAH (Opérateur des Parcours Acrobatiques en Hauteur) afin de pouvoir faire des saisons plus longues dans les parcours accrobranches de la région et notamment celui de l’Île de Loisirs de Buthiers dans le sud de la Seine-et-Marne.
C’est d’ailleurs dans ce même endroit que j’ai commencé à co-encadrer le club d’escalade de Buthiers en compagnie du Diplômé d’État de l’époque.
L’acquisition des compétences
C’est à l’occasion de son départ prochain que mon employeur m’a proposé la formation du CQP AESA (Animateur Escalade en Structure Artificielle) pour me permettre d’obtenir les compétences d’encadrer seul les jeunes du club.
Dès l’année suivante j’ai poursuivi ma lancée vers la formation en escalade en commençant la formation DEJEPS (Diplôme d’état de la Jeunesse de l’éducation Populaire et du Sport) spécialité perfectionnement sportif, mention escalade.
Grâce à ce diplôme j’ai constitué un groupe compétition avec les jeunes les plus motivés et nous avons commencé à sillonner la France au travers des compétitions nationales, participant aux étapes de coupe de France, de championnat de France et autre.
Aujourd’hui encore je poursuis l’entraînement de ces grimpeurs voulant toujours aller plus loin et commence à proposer mes services à tous les grimpeurs souhaitant découvrir, perfectionner ou parfaire la pratique de l’escalade accompagnés par un passionné !
Description
PARCOURS PERSONNEL
Originaire d’un village au cœur de la Forêt de Fontainebleau, l’escalade a toujours fait partie intégrante de mes week-ends et vacances passés à grimper dans les rochers dès mon plus jeune âge.
Après avoir pratiqué plusieurs sports différents, du tennis en passant par les arts martiaux, c’est tout naturellement que j’en suis revenu vers la pratique de l’escalade sur site naturel avec l’appel de la forêt.
Les premiers pas
Mes premiers vrais pas dans le monde de l’escalade se sont donc fait à quelques kilomètres de chez moi sur les secteurs bien connus de Fontainebleau tels que “la Roche aux Sabots”, “La Gorge aux Châts” ou “La Canche aux Merciers”. C’est seulement deux ans après lors d’un hiver particulièrement pluvieux que j’ai mis pour la première fois les pieds dans une salle d’escalade et les doigts sur le plastique des prises.
C’est dans cet endroit que j’ai découvert une autre facette du sport qui m’a transporté immédiatement, l’ouverture. L’imagination de nouveaux passages à grimper, l’élaboration de mouvements plus ou moins complexes et l’envie de voir des grimpeurs essayer de décrypter puis se mesurer à son bloc, m’ont tout de suite poussé à jouer avec les visseuses aussi souvent que possible.
Les voyages
J’ai ensuite voulu découvrir l’escalade qui pouvait être proposée à d’autres endroits en France d’abord, puis dans le reste du monde. Je me suis initié à la falaise et à la pratique de la corde et j’ai pu voyager pour découvrir parmi les plus grands secteurs de grimpe du monde. J’ai donc pu enfiler les chaussons au Canada sur les falaises de l’est, en Afrique du Sud sur les rochers mythiques de Rockland, sous le soleil brûlant d’Hampi dans le sud de l’Inde, sur les différents secteurs de bloc de Suisse et dans bien d’autres endroits. L’aventure liée étroitement à la pratique de l’escalade a achevé d’en faire ma passion.
C’est un peu plus tard, en atteignant les portes de ce qui me semblait impossible à mon démarrage, le huitième degré, que j’ai fait la découverte de ce qui fera l’essentiel de mon travail, l’entraînement.
Plongé jour et nuit dans les recueils sur la préparation physique ou mentale, sur la prévention des blessures, les étirements, l’auto-massage, je fut le premier cobaye de mes planifications et séances d’entraînement. C’est en continuant de peaufiner mes connaissances dans le domaine que j’ai compris quelle part de l’escalade serait mon métier.
PARCOURS PRO
Avant de pouvoir profiter pleinement de ma passion en tant que travail, j’ai dû passer par quelques étapes préliminaires.
J’ai tout d’abord commencé à travailler dès 17 ans en tant qu’animateur dans différents centres de loisirs sur la période estivale. J’ai ensuite passé un CQP OPAH (Opérateur des Parcours Acrobatiques en Hauteur) afin de pouvoir faire des saisons plus longues dans les parcours accrobranches de la région et notamment celui de l’Île de Loisirs de Buthiers dans le sud de la Seine-et-Marne.
C’est d’ailleurs dans ce même endroit que j’ai commencé à co-encadrer le club d’escalade de Buthiers en compagnie du Diplômé d’État de l’époque.
L’acquisition des compétences
C’est à l’occasion de son départ prochain que mon employeur m’a proposé la formation du CQP AESA (Animateur Escalade en Structure Artificielle) pour me permettre d’obtenir les compétences d’encadrer seul les jeunes du club.
Dès l’année suivante j’ai poursuivi ma lancée vers la formation en escalade en commençant la formation DEJEPS (Diplôme d’état de la Jeunesse de l’éducation Populaire et du Sport) spécialité perfectionnement sportif, mention escalade.
Grâce à ce diplôme j’ai constitué un groupe compétition avec les jeunes les plus motivés et nous avons commencé à sillonner la France au travers des compétitions nationales, participant aux étapes de coupe de France, de championnat de France et autre.
Aujourd’hui encore je poursuis l’entraînement de ces grimpeurs voulant toujours aller plus loin et commence à proposer mes services à tous les grimpeurs souhaitant découvrir, perfectionner ou parfaire la pratique de l’escalade accompagnés par un passionné !